Membres du conseil consultatif de l'ISFH – Biographies

Sofia Ahmed, M.D., M. M. Sc., FRCPC (présidente)
Professeure, Faculté de médecine et de dentisterie
Université de l’Alberta
Néphrologue

Titulaire d’une chaire sur le sexe et le genre à l’Université de l’Alberta, la Dre Sofia Ahmed est clinicienne-chercheuse spécialisée dans les différences de sexe et de genre influant sur la physiologie néphrologique et cardiovasculaire ainsi que les résultats cliniques connexes. Elle est membre du conseil d’administration du Journal de l’Association médicale canadienne et présidente de l’Organization for the Study of Sex Differences [Organisation pour l’étude des différences sexuelles]. La Dre Ahmed détient un doctorat en médecine de l’Université de Toronto (où elle a fait sa résidence en médecine interne) ainsi qu’une maîtrise en sciences médicales de l’Université Harvard et a reçu une formation postdoctorale en néphrologie à l’Hôpital Birgham and Women et à l’Hôpital général du Massachusetts, à Boston (États-Unis). Lauréate du prix de chercheur principal 2022 d’Hypertension Canada, du prix May-Cohen pour femmes mentores 2021 de l’Association médicale canadienne et du prix de mentor émérite 2020 de l’American Society of Nephrology, la Dre Ahmed est une ardente défenseure du mentorat et de la promotion de l’excellence auprès de la relève en recherche.


Shamara Baidoobonso, PhD
Épidémiologiste, l’Île-du-Prince-Édouard
Professeure auxiliaire, Département de santé communautaire et d’épidémiologie, Université Dalhousie

Shamara Baidoobonso, Ph. D., est épidémiologiste pour la province de l’Île-du-Prince-Édouard, rôle directeur dans lequel elle offre des conseils scientifiques et stratégiques à l’administrateur en chef de la santé publique et au ministère de la Santé et du Mieux-être sur les dossiers de données, de surveillance et de recherche liés à la santé publique. Elle est également professeure auxiliaire au Département de santé communautaire et d’épidémiologie de l’Université Dalhousie.

Forte de plus de 15 années d’expérience en recherche communautaire et de plus de 10 années en élaboration de programmes et de politiques de santé fondés sur des données probantes, la Dre Baidoobonso a acquis une solide expertise dans l’application des données probantes et dans la mobilisation de membres du public aux horizons variés. Elle se sert de cette expertise pour mobiliser les connaissances en faveur de la prévention des maladies et de l’équité en santé. En plus de travailler dans divers milieux de recherche appliquée axée sur la mobilisation des connaissances intégrée, la Dre Baidoobonso poursuit un programme de recherche communautaire et de mobilisation des connaissances sur le VIH et la santé des personnes noires au Canada. Elle est l’auteure de 13 articles de revues à comité de lecture, d’un chapitre de livre, et d’une quarantaine de rapports d’évaluation et de recherche. Elle a été candidate, utilisatrice des connaissances et chercheuse principales dans le cadre de sept projets de recherche ayant obtenu plus de 1,2 million de dollars en financement par voie de concours, et au-delà de 1 million de dollars en contributions de contrepartie et en nature. Au fil des ans, elle a conseillé des organismes, des établissements et des instances gouvernementales de tous les ordres sur des enjeux liés à la mesure de l’équité en santé et à la collecte de données sur l’ethnie et d’autres aspects de l’identité, afin d’orienter les interventions à mettre en place pour promouvoir l’équité en santé et surveiller les progrès accomplis.

Outre ses activités professionnelles, la Dre Baidoobonso est une membre active de la communauté et elle tient bénévolement des rôles directeurs et consultatifs sur le VIH, les déterminants sociaux de la santé et les inégalités en santé chez les personnes noires, immigrantes ou d’autres communautés racisées. Elle travaille aussi régulièrement à titre de mentore auprès des membres de groupes en quête d’équité, notamment des étudiants des cycles supérieurs. En reconnaissance de ses contributions scientifiques et communautaires, elle a reçu de nombreux prix, bourses et distinctions, dont la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II.


Brittany Bingham, MSP, Ph.D.
Professeure adjointe, Division de médecine sociale, Université de la Colombie-Britannique

Fière membre de la nation shíshálh (bande Schelt), la Dre Brittany Bingham est titulaire d’une maîtrise en santé publique et d’un doctorat en sciences de la santé de l’Université Simon Fraser, en plus d’agir comme professeure adjointe à la Division de médecine sociale de la Faculté de médecine de l’Université de la Colombie-Britannique. Chercheuse-boursière de Michael Smith Health Research BC, la Dre Bingham dirige en outre des projets de recherche communautaire visant avant tout à améliorer l’expérience des Autochtones dans le secteur des soins et à éclairer la transformation du système de santé. Pendant 20 ans, elle a assumé diverses fonctions dans les secteurs de la recherche faisant intervenir les Autochtones, des soins de santé et des politiques. Elle se passionne pour la recherche communautaire, l’équité en santé pour les Autochtones, la santé des femmes, la science de la mise en œuvre, la santé planétaire, la santé sexuelle et génésique, les systèmes de santé apprenants, la sécurisation culturelle et l’humilité culturelle. Ayant obtenu une subvention des Instituts de recherche en santé du Canada, la Dre Bingham est la chercheuse principale de l’étude Amplify, qui vise à faire connaître l’expérience des femmes, des personnes de diverses identités de genre et des personnes bispirituelles autochtones. Elle est par ailleurs la fondatrice et directrice d’un nouveau laboratoire axé sur l’équité en santé pour les Autochtones à l’Institut de recherche sur la santé des femmes de la Colombie-Britannique.


Peter Chan
Professeur de chirurgie, Université McGill
Directeur, Médecine de la reproduction masculine, Centre universitaire de santé McGill

Le Dr Chan est actif en sciences fondamentales à l’Université McGill depuis 1988. Il a été chercheur principal et cochercheur principal avec des subventions de recherche des IRSC sur les aspects biopsychosociaux d’une vaste gamme de sujets touchant la santé des hommes. En plus d’avoir reçu diverses bourses et divers prix nationaux et internationaux pour son travail de recherche, le Dr Chan est aussi un enseignant de renom qui a été, à maintes reprises, président, membre du corps professoral et conférencier à des cours ou symposiums précédant les congrès de la Société américaine de médecine reproductive et de l’Association américaine d’urologie. Il a reçu quatre fois le prestigieux prix Everett-C.-Reid pour sa contribution exceptionnelle à la formation en urologie à l’Université McGill. Il siège actuellement au comité de direction de la Société américaine de médecine reproductive et est président sortant de la Société des chirurgiens de la reproduction. Conscient de l’importance de la promotion de la santé publique, le Dr Chan a créé en 2005 une activité de santé publique connue sous le nom de journée annuelle sur la santé des hommes, et il est l’organisateur en chef depuis. Cette journée se tient chaque année la semaine de la fête des Pères à divers endroits publics pour sensibiliser le grand public à divers problèmes de santé des hommes. Pour son travail de promotion de la santé masculine, le Dr Chan a reçu le prix pour contribution exceptionnelle du réseau Cancer de la prostate Canada en 2013 et le prix de générosité de la Fondation du cancer des Cèdres en 2018.


Josephine Etowa, Ph. D., inf. aut., sage-femme aut., FWACN, FAAN, FACSI, MACSS
Professeure, École des sciences infirmières, Université d’Ottawa
Titulaire d’une chaire de recherche de niveau 1 sur la santé des femmes noires au Canada

Professeure et titulaire d’une chaire de recherche du Canada à l’École des sciences infirmières de l’Université d’Ottawa, Josephine Etowa est une cheffe de file mondiale en recherche-action visant à réduire les inégalités en santé auxquelles sont confrontées les communautés noires ainsi qu’à transformer les systèmes de santé au Canada et à l’étranger. Elle a été titulaire de la chaire du Réseau ontarien de traitement du VIH sur la prévention et les soins du VIH chez les femmes noires de 2020 à 2024. Membre fondatrice et ancienne présidente de la Health Association of African Canadians, elle est actuellement secrétaire du conseil d’administration de la Fondation Stephen Lewis pour le VIH/sida en Afrique et titulaire de la chaire de recherche Loyer-DaSilva en soins infirmiers de santé publique.

Son programme de recherche communautaire comprend des études sur la santé des femmes noires, l’équité en santé, la santé périnatale, la COVID-19, le VIH/sida, la vie professionnelle des infirmières et les soins infirmiers communautaires. Ses travaux ont aidé à mieux comprendre les déterminants de la santé, les inégalités connexes et l’accès aux soins de santé, en plus d’influencer les politiques en santé au Canada et à l’étranger. Au fil des ans, elle a encadré plus de 100 personnes noires dans la communauté, dont beaucoup occupent aujourd’hui des postes influents au sein des gouvernements provinciaux et fédéral du Canada. Ses recherches actuelles visent à favoriser l’action communautaire en santé – en élaborant des pratiques exemplaires pour la recherche, la gestion des données et la mobilisation des connaissances – de sorte qu’elle émane réellement des communautés noires.

La professeure Etowa fonde ses recherches sur une perspective intersectionnelle et une approche de promotion de la santé de la population. Ses efforts de lutte contre le racisme envers les Noirs ont contribué de façon importante aux politiques en santé et porté la question du racisme à l’avant-plan au pays. Enfin, elle a créé et dirigé un groupe d’experts de communautés africaines, caribéennes et noires pour mettre en œuvre une étude nationale sur les répercussions de la pandémie de COVID-19 sur les membres des communautés noires au Canada.


Jennifer Gillivan, IAS. A
Présidente et cheffe de la direction, Fondation IWK

Jennifer Gillivan est présidente et cheffe de la direction de la Fondation IWK, le principal partenaire de collecte de fonds et de sensibilisation du Centre de santé IWK, qui fournit des soins essentiels et spécialisés aux femmes, enfants, jeunes et familles de la côte est du Canada. Elle a travaillé auparavant pendant 14 ans à la Société Radio-Canada.

Dirigeante chevronnée et conférencière motivatrice passionnée, Mme Gillivan contribue activement au bien-être de sa collectivité et de tout le pays. Elle a occupé de nombreux postes de direction, et est notamment présidente sortante du conseil d’administration de l’organisme Les fondations d’hôpitaux pour enfants du Canada. Elle a été nommée par le premier ministre du Canada au Conseil consultatif indépendant sur les nominations au Sénat comme membre pour la Nouvelle-Écosse de 2016 à 2018 et a siégé à de nombreux conseils nationaux et régionaux au fil des ans. Elle a reçu de nombreuses distinctions pour son travail, dont le titre de PDG la plus admirée d’un organisme à but non lucratif, décerné par la Waterstone Human Capital, et une place au palmarès des 50 meilleurs PDG de l’Atlantic Business Magazine. Ardente défenseure des droits des femmes, Mme Gillivan s’est donné pour mission d’éliminer les inégalités dans les soins de santé et la recherche pour les femmes dans le monde entier.


Ian Graham
Professeur, École d'épidémiologie et de santé publique
Université d'Ottawa

Ian Graham (Ph.D., MACSS, FNYAM, MSRC) est professeur à l'École d'épidémiologie et de santé publique de l'Université d'Ottawa et un scientifique chevronné du Programme d'épidémiologie clinique de l'Institut de recherche de l'Hôpital d'Ottawa. Ses travaux portent sur l'application des connaissances, plus précisément sur le processus des chercheurs qui travaillent en collaboration avec les utilisateurs des connaissances (application des connaissances intégrée) et l'incidence de leurs travaux. Il est le titulaire d'une première subvention Fondation de sept ans des Instituts de recherche en santé du Canada, intitulée « Moving knowledge into action for more effective practice, programs and policy: A research program focusing on integrated knowledge translation » [Passer des connaissances à l'action pour générer des pratiques, des programmes et des politiques plus efficaces : un programme de recherche sur l'application des connaissances intégrée].


Robert-Paul Juster, Ph.D.
Directeur, Centre d’études sur le sexe*genre, l'allostasie, et la résilience (CESAR), Centre de recherche de l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal
Professeur agrégé, Département de psychiatrie et d’addictologie, Université de Montréal

Robert-Paul Juster est le directeur du Centre d’études sur le sexe*genre, l'allostasie, et la résilience (CESAR) situé au Centre de recherche de l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal. Il est également professeur agrégé au département de psychiatrie et d’addictologie de l’Université de Montréal. Robert-Paul est titulaire d’un baccalauréat en psychologie de l’Université Concordia ainsi que d’une maîtrise et un doctorat en neurosciences de l’Université McGill. Finalement, Robert-Paul a suivi sa formation postdoctorale à l’Université Columbia en psychiatrie.

La recherche de Robert-Paul s’intéresse à mieux comprendre le rôle du sexe biologique et des aspects socioculturels de genre dans l’explication de trajectoires menant à la vulnérabilité ou à la résilience face aux maladies liées au stress. Notamment, il détient une grande expertise sur le stress chronique. Plus précisément, Robert-Paul se spécialise dans la mesure de la charge allostatique à l’aide de biomarqueurs obtenus par échantillonnage de salive et de sang. La charge allostatique est un indice global d’usure multi-systémique causée par l’exposition au stress chronique ainsi qu’à des comportements nuisibles à la santé. De plus, Robert-Paul Juster a mené des études afin de comprendre comment la stigmatisation et le stress affectent la santé des membres de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle, transgenre, et queer (LGBTQ). Au sein de son laboratoire (CESAR), l’équipe du Dr. Juster vise à contribuer à l’avancement de la recherche sur les perspectives de sexe/genre ainsi que sur la charge allostatique chez diverses populations telles que la communauté LGBTQ+, les travailleurs ainsi que les patients en psychiatrie.


Carmen Logie, Ph. D.
Professeure, Faculté de travail social Factor-Inwentash, Université de Toronto
Scientifique auxiliaire, Institut de recherche de l’Hôpital Women’s College
Titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l’équité en matière de santé et la justice sociale dans le monde auprès des populations marginalisées

La Dre Carmen Logie, titulaire de la Chaire de recherche du Canada de niveau 2 sur l’équité en matière de santé et la justice sociale dans le monde auprès des populations marginalisées, est professeure titulaire à la Faculté de travail social Factor-Inwentash de l’Université de Toronto, professeure auxiliaire à l’Institut pour l’eau, l’environnement et la santé de l’Université des Nations Unies, scientifique auxiliaire à l’Hôpital Women’s College, et chercheuse au Centre for Gender and Sexual Health Equity. Son programme de recherche communautaire fait progresser la compréhension des formes croisées de stigmatisation et de discrimination associées au VIH et à d’autres inégalités sociales et de santé au Canada, en Ouganda, au Kenya, en Afrique du Sud et en Tanzanie vécues par les personnes vivant avec le VIH, les jeunes déplacés ou réfugiés, les membres des communautés LGBTQ+, les jeunes autochtones, les jeunes atteints par les perturbations climatiques, et les personnes au carrefour de ces identités, en vue de concevoir des modèles d’intervention pertinents.


Jeffrey S. Mogil, Ph. D., MACSS, MSRC
Professeur, Département de psychologie, Université McGill

Jeffrey Mogil est professeur E. P. Taylor d’études sur la douleur et professeur émérite James-McGill à l’Université McGill. Il a largement contribué au domaine de la génétique de la douleur, à l’étude des différences entre les sexes en matière de douleur, et aux méthodes de tests de douleur sur les souris de laboratoire. Il compte plus de 270 manuscrits et chapitres de livres et présente à l’heure actuelle un indice h de 96. Lauréat de prix pour l’ensemble de sa carrière décernés par la Société canadienne de la douleur, l’American Pain Society et la Société canadienne de psychologie, il est membre de la Société royale du Canada et de l’Académie canadienne des sciences de la santé. De plus, il a tenu les rôles de rédacteur pour la section Neurobiologie de la revue scientifique Pain, de conseiller à l’Association internationale pour l’étude de la douleur, et de président du comité du programme scientifique pour le 13e Congrès mondial sur la douleur.


Ayden Scheim, Ph. D.
Professeur adjoint, Epidemiology and Biostatistics, Université Drexel

Ayden Scheim, Ph. D., est professeur adjoint d’épidémiologie à l’École de santé publique Dornsife de l’Université Drexel à Philadelphie, aux États-Unis. Il est également professeur auxiliaire et invité à l’Université Western, à l’Hôpital St. Michael et à l’Université de la Californie à San Francisco. Le Dr Scheim a obtenu son doctorat en épidémiologie et biostatistique à l’Université Western et a suivi une formation postdoctorale en santé publique mondiale à l’Université de la Californie à San Diego. Il mène des recherches communautaires et méthodologiques afin de comprendre et de contrer les répercussions sanitaires de la stigmatisation, de la discrimination et de l’exclusion sociale intersectionnelles. Son programme de recherche s’articule plus précisément autour 1) de la santé mentale et sexuelle, du VIH et de la réduction des méfaits chez les personnes issues de minorités sexuelles et de genre et des personnes qui consomment de la drogue; 2) de la mesure de la discrimination et de la stigmatisation intersectionnelles. Le Dr Scheim cumule 20 années d’expérience pratique et scientifique en santé des personnes transgenres et non binaires. Il dirige actuellement des études de recherche participative communautaire au sein de populations transgenres au Canada et en Inde, financées par les Instituts de recherche en santé du Canada et les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis. En outre, il a pris part à l’élaboration des lignes directrices cliniques et scientifiques sur la santé des personnes transgenres pour l’Organisation mondiale de la santé, l’Association professionnelle mondiale pour la santé des personnes transgenres et les NIH.


Ashlyn Swift-Gallant, Ph. D.
Professeure agrégée, Département de psychologie
Université Memorial de Terre-Neuve-et-Labrador

La Dre Ashlyn Swift-Gallant est professeure agrégée au Département de psychologie de l’Université Memorial de Terre-Neuve-et-Labrador. Elle a obtenu son doctorat à l’Université de Toronto et fait sa formation postdoctorale à l’Université d’État du Michigan. Elle axe ses recherches sur l’influence du développement sexuel sur le cerveau et le comportement, et sur son incidence dans la prédisposition de certains individus à des affections cérébrales selon le stade de la vie. La Dre Swift-Gallant s’intéresse tout particulièrement à définir le rôle des chromosomes et hormones sexuels dans la médiation du risque de troubles neurodéveloppementaux. Elle collabore également à des projets visant à comprendre les biais liés au sexe et au genre dans les troubles de santé mentale, en utilisant à la fois des enquêtes précliniques sur les rongeurs et des études épidémiologiques sur les populations humaines. De plus, elle participe activement à l’Organization for the Study of Sex Differences, où elle a notamment agi comme conseillère élue et coprésidente du comité des prix.

La Dre Swift-Gallant a reçu au fil de sa carrière diverses distinctions pour ses recherches innovantes et son mentorat, dont le Distinguished Emerging Scholar Award et le RockStar Supervisor Award décernés respectivement par la Faculté des sciences et l’École des études supérieures de l’Université Memorial, ainsi que le W. C. Young Award décerné par la Society for Behavioural Neuroendocrinology.

Date de modification :